L'environnement macroéconomique est resté favorable aux marchés émergents. La résistance de la croissance américaine et le soutien de la politique en Chine ont soutenu le sentiment de risque. La baisse des taux d'intérêt du Trésor américain a renforcé l'appétit des investisseurs pour les actifs à risque. En Chine, le ralentissement de l'activité économique a été compensée un ensemble de nouvelles mesures, notamment une aide au secteur immobilier. Au Moyen-Orient, la guerre entre Israël et le Hamas reste un risque, bien que les répercussions régionales soient considérées comme limitées. Enfin, les banques centrales des pays émergents sont mises à l'épreuve par le retard des réductions de taux des pays développés, notamment de la Réserve fédérale.