Le mois de mars confirme le changement de ton du marché : Le conflit en Ukraine accentue les pressions inflationnistes initiées par la reprise post Covid-19 sur fond d’une poursuite de flambée des prix des matières premières (blé, gaz, pétrole). Les taux ont pesé sur la performance des segments mieux notés (BB). Ce contexte d’incertitude se traduit par un marché primaire atone, les émetteurs HY ayant fait le plein de liquidité peuvent se permettre un certain attentisme face à la remontée des coûts de financement.